Les violons dans l’avion (Version française)

Rêve#1 : Les violons dans l’avion

Rêve : Je suis dans un avion de ligne régulière. Avec l’orchestre symphonique, nous revenons d’une tournée d’un pays lointain, plutôt asiatique. Je suis violoniste (instrument que j’ai un peu pratiqué durant l’adolescence). Tout dans l’avion est conforme à la réalité (le fait de jouer du violon dans un avion n’est pas si facile, on peut bien imaginer ce que cela représente… dans le rêve tout était conforme à cela). Tous les voyageurs étaient contents, ce fut une belle expérience.

Partage : Le matin j’essaie d’analyser mon rêve avec la fameuse question : « Est-ce que jouer du violon dans un avion avec un orchestre est à sa place ? » Et si cela est effectivement possible, ce n’est pas l’usage. Donc je commence à méditer sur le côté négatif… Le matin en allant prendre on véhicule de location au village voisin, j’écoute les nouvelles sur France Musique et je suis fasciné par ce que j’entends. Une compagnie aérienne a organisé le premier concert en plein vol, lors du retour de la tournée asiatique de l’orchestre philharmonique de France… ! Le chef d’orchestre témoigne de l’organisation. L’altitude : 11 000 pieds… les préparatifs pour des raisons de sécurité… les consignes pour les musiciens en cas de « trous d’air »… Tout a été bien planifié et la compagnie aérienne était satisfaite puisque l’avion était complet grâce à la publicité qui en avait été faite. Le rêve serait-il devenu positif ? Quelle probabilité existe-t-il entre un rêve comme celui-ci et une réalité comme celle-là ? 100% me répond ma fille dans le cadre de la métaphysique !

Rêve#2 : La cérémonie d’adieu

Partage : J’ai perdu ma maman il y a neuf ans d’un cancer et mon papa est allé la rejoindre le jour de Pâques l’année passée.

Rêve : Nous préparions la cérémonie d’adieu de ma maman car comme elle était malade, nous savons qu’elle s’en irait. Il y avait déjà beaucoup de monde à l’église, tout le monde était très triste car c’était une femme très aimée. Ensuite je suis allée la rejoindre car elle n’était pas encore morte, car c’était au moment de la cérémonie qu’elle s’en irait dans l’au-delà. Comme si avec la cérémonie, elle serait euthanasiée. Elle triait ses affaires dans l’armoire de sa chambre à coucher. Donc je suis allé l’aider et je lui ai dit : « pourquoi veux-tu partir ? Tu es encore en pleine forme donc reste encore avec nous. » Elle m’a répondu : « c’est comme ça, je dois partir. » J’ai insisté et elle a finalement décidé de ne pas partir et de rester avec nous. Donc je suis allée dans l’église avertir toute la communauté qui était présente pour leur annoncer qu’elle ne partirait pas. Mon cousin était auprès de moi pour me réconforter.

Rêve#3 : La statue

Partage : Avant de m’endormir, j’ai demandé à travailler à la rectification d’une attitude trop invitante ou trop ouverte avec un homme rencontré lors d’un workshop. Il n’y a pas eu d’échanges verbaux mais dans les regards. Je dirais que les yeux magiques était là ! Puis après j’ai vu sur son site qu’il était marié ! Moi je suis libre. J’ai alors pensé aux conséquences possibles pour son couple de ce que j’ai pu émettre comme énergie lors de ses contacts par les yeux et voulu travailler, comprendre cela.

Rêve : Dehors, je me cache des humains car j’ai fait quelque chose de grave. J’ai provoqué la mort d’un enfant, par accident. Je me cache dans une fissure dans la terre. Je crains et sens que des parties de mon corps dépassent, effleurent à la surface comme les cheveux et la hanche ; qu’on peut me voir, surtout le père qui cherche. Je suis découverte mais je suis l’enfant. Je suis moi et dans le rôle de cet enfant garçon mort, donc comme une statue. Ce n’est pas facile car il ne faut pas bouger.
Une personne parmi celles présentes dit remarquer quelque chose de bizarre à mes paupières (qui bougent un peu). Mais ils n’approfondissent pas, le père Louis, est très enthousiaste de m’avoir trouvé. Il y a ensuite une sorte de course, une performance sportive, toujours dans ce rôle de statue, avec d’autres enfants. Il s’agit d’un circuit ovale et à la verticale. Il y a des hommes sur ce circuit qui font des travaux.
Je dois faire attention à eux qui me croient en statue de cire. Le père est tellement touché qu’il me projette, me souhaite vivante. Les hommes non. Ils parlent d’une installation simple et pratique pour eux pour leurs travaux : il s’agit de brancher un appareil électrique, c’est un endroit où je me trouve, l’électricité peut faire des étincelles qui, touchant mon corps de cire peuvent faire des petits trous. Pour eux ce n’est pas un problème mais moi je suis vivante et ça peut faire mal, je suis en alerte, il me faut éviter cela.
Ma position est délicate. Le père me pose le moins de problèmes car il est prêt à me vouloir vivante, alors que les autres me voient toujours comme une statue, il me faut donc être immobile, être dans une pause figée, toujours la même, avec peu de variation. C’est une position archétypale avec une main en l’air. Si je bouge trop il percevront l’escroquerie, me découvriront.