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Exemple de signes

Par ces simples histoires vécues, on découvre que tout est symbole et que notre vie sur Terre a une signification des plus profondes.

Un signe inattendu

Un jour, une dame m’a dit : « Moi, je voulais déménager, mais mon époux n’était pas d’accord. Alors je n’ai rien imposé, mais j’ai demandé à la vie : “Donnez-moi un signe !”

Peu de temps après, les égouts ont été complètement bouchés. Alors le mari s’est résigné à déménager.

C’est ça, les signes. C’est comme ça que ça fonctionne. On demande, on pense, on attend, on écoute et voilà !

Un comportement peut aussi être un signe

Une femme m’a confié qu’elle avait rapporté de voyage du chocolat tout à fait spécial pour son enfant et un autre cadeau pour son mari. Quelque temps plus tard, quand je suis arrivée chez eux, elle m’a offert un morceau de ce chocolat en m’expliquant ce qui s’était passé: « Tu sais, (elle riait un peu) c’est mon mari qui a mangé la plus grande partie du chocolat. Ma fille et moi, nous n’étions pas contentes de ça. »

Je les ai écoutés, puis j’ai dit à la femme: « C’est bien d’offrir un cadeau à ta fille et un autre à ton mari. Mais, une fois cela fait, pourquoi ne pas avoir eu cet esprit de partage et lui avoir dit : “Le chocolat aussi est à ta disposition.” »

Dès qu’on pose des conditions et qu’on restreint quelqu’un, comme quand on dit: « Ça, c’est à moi, et ça, c’est à toi », on se trouve à créer des interdits et ça entraîne des envies.

Alors je lui ai dit : « Mais si on va un petit peu plus loin, il y a peut‑être lieu pour toi de te poser des questions : quand on va chercher du réconfort dans les sucreries, c’est un signe. Peut‑être que certaines douceurs ne sont pas données de manière assez libre – sans condition – dans ton couple. »

Dans de simples actes du quotidien comme celui‑là, on peut déceler la présence d’une carence affective. La nourriture, c’est le côté émotionnel : quelquefois, on va chercher refuge dans la nourriture par simple besoin de tendresse et d’affection. 

Un signe à propos d'un emploi

J’aimerais partager avec vous l’exemple d’une personne que j’ai rencontrée récemment et qui était à la recherche d’un emploi.

Elle m’a dit : « Je n’avais pas encore trouvé de travail, mais je savais que ça allait venir. Entre-temps, malgré mes faibles revenus, j’ai changé mon canapé, et j’ai fait des rénovations et mon nettoyage de printemps. J’ai quand même continué ; ça a bien sûr impliqué des frais, mais je voulais garder les énergies en mouvement. »

Il ne faut jamais bloquer les énergies. Si on bloque un mouvement naturel à cause d’une peur ou d’une inquiétude, on bloque ces mêmes énergies dans les plans subtils.

J’ai revu cette personne plus tard et elle m’a dit: «Je suis allée offrir mes services comme serveuse dans un grand hôtel où il n’est pas évident de trouver un emploi parce que c’est très en demande. J’y suis allée sans avoir d’attentes. Je me suis dit : “Si on ne peut pas me recevoir, j’irai rendre visite à une personne que je connais dans ce coin-là.” »

Elle n’avait pas d’attentes; elle ne se disait pas : « Ah! je n’ai plus de travail : j’y vais, il me faut ce travail. » Non, elle y est allée comme on va en promenade. Et c’est toujours comme ça qu’on devrait faire; mais cela exige que l’on ait fait un travail sur soi-même. Quelquefois, quand la peur nous envahit, on n’arrive plus à être comme ça, à se sentir léger.

Elle m’a dit : « C’est sûr qu’on m’a fait attendre un peu parce que je n’avais pas de rendez-vous ; c’était une offre spontanée. »

Les offres spontanées sont merveilleuses. Moi, quand je travaillais aux ressources humaines, quand j’engageais du personnel, j’aimais beaucoup les personnes qui venaient faire des offres spontanées pour proposer leurs services. Je trouvais que cela dénotait de la motivation. Ça donnait une coche de plus.

Donc, elle a attendu. Elle m’a dit : « J’ai attendu parce que le patron n’était pas disponible. Mais justement, parce qu’on m’a fait attendre, tout à coup – voyez la belle synchronicité –, juste au moment où le patron est venu à ma rencontre pour me proposer une entrevue, une autre personne – un employé de l’établissement – passait par là, il m’a reconnue et m’a dit : “C’est vous qui aviez la crêperie près d’ici ?” Ça y était : l’affaire était dans le sac ! »

Juste à cause de la renommée qu’elle avait, elle a été engagée tout de suite.

Je sais que cette histoire paraît facile et légère, mais tout est toujours une question d’attitude intérieure. Toujours. Quand on fait une demande pour trouver un emploi, si on ne se sent pas bien, il vaut mieux attendre un petit peu, se motiver, se sentir riche et y aller avec cette richesse d’esprit. Ça, c’est important.

Puis, là, on va s’attirer de bonnes choses.

C’est ça, la prospérité : c’est un regard, une manière de penser, une manière d’être ; c’est toute une gestuelle, toute une attitude.