Le parc et les lacs (Version française)

Rêve #1 : Le parc et les lacs

Le Rêve : Je suis avec mon filleul de 7 ans et ma sœur jumelle à Sherbrooke ville. Je le conduis à des jeux d’eau dans un parc, ce sont des lacs où il y a différentes sortes de courants comme des piscines à vagues.

Nous allons à un premier lac, je suis avisée par un homme qu’il manque un joueur pour un tournoi de badminton. Je dis que je suis disponible au besoin. Je montre les vieux souliers de courses que je porte sales et usés je dis que ça ira, car l’asphalte les rendra antidérapants. Quelqu’un me prêtera une raquette. J’ai en tête que je suis responsable de mon filleul donc qu’ils viendraient voir la partie au besoin.

L’homme veut me parler plus longtemps mais je trouve que j’ai été absente assez longtemps. Je lui dis alors que je dois y aller car ma sœur qui est seule avec mon filleul est schizophrène (alors que je ne suis pas si inquiète) je dis que je serai à un des lacs en pointant l’endroit.

Je rejoins ma sœur et mon filleul qui étaient à la salle de bain et nous allons au 2e lac. Je vois dans le jeu d’eau Margot mais je suis prête à discuter si notre regard se croise. Je vois des javelots dans le sable comme si on les avait envoyés pour m’aviser. Je pense que j’ai mal compris et qu’il s’agit d’un tournoi de volleyball. Je suis vraiment moins à l’aise au volleyball mais je me dis qu’il me fera plaisir d’y participer. Ce n’est pas grave si je ne performe pas.

Je sais ensuite qu’il s’agit vraiment d’un tournoi de badminton. Je m’imagine jouer et j’imagine quelqu’un filmer la partie. Je suis contente car je pourrai avoir un souvenir de moi alors que j’étais sportive et performante (comme si j’allais moins vivre cette situation dans l’avenir?).

Mon filleul et ma sœur ne sont plus avec moi. L’homme vient me parler. Il me dit que finalement, ils veulent juste des gens qui sont inscrits au tournoi et ils vont annuler la partie de la personne qui n’avait pas de partenaire. Ça me convient et je suis prête à passer à autre chose. Il voit que j’ai un bobo à la main (droite je crois) il veut me montrer que je pourrais placer mon diachylon autrement. Il le décolle, l’agrandi et le replace.

On a marché jusqu’à la salle de bain. Il l’a agrandi encore plus et le met autour de ma main. J’observe. Je ne réagis pas Lui et moi nous retrouvons un peu plus loin que la salle de bain. Il me soulève du sol et m’amène vers la salle de bain, je vois alors dans son regard qu’il veut m’agresser sexuellement dans la salle de bain. Je ne bouge pas physiquement mais je crie à l’aide alors que nous sommes dans le cadre de porte. Lui et moi nous retrouvons un peu plus loin que la salle de bain. Je vois dans son regard qu’il prévoit de m’agresser sexuellement dans la salle de bain. Je regarde autour s’il y a des gens. Je ne vois personne proche. J’utilise des techniques de karaté, j’en vois toute la séquence et je le mets au sol sans le blesser. Je le maintiens au sol.

À un moment donné, j’ai appelé de l’aide. La police a été appelée. Je suis dans la salle de bain avec la police et l’homme qui est immobilisé. L’homme vivra des conséquences judiciaires pour agression sexuelle. Je réfléchis si ce qu’il m’ont fait vivre est assez grave pour justifier la conséquence qu’il devra vivre. Après réflexion, je trouve que c’est juste. Je suis encore ébranlée. Je veux connaitre son nom pour le reconnaitre au besoin dans l’avenir. A mon réveil, mon cœur bat à toute allure.

Rêve #2 : Les immeubles dans la ville

Le Rêve: Je suis dans une rue où il y des immeubles à 2 ou 3 étages de chaque côté. Les immeubles sont blancs.

Deux enfants Bazanés s’approchent d’un appartement et appuient sur un bouton, une alarme sonne et les stores des fenêtres se baissent. Ils sont déchainés et ne veulent pas obéir aux deux adultes à coté et l’un deux appuient sur le bouton en disant: « regarde il n’y a pas de problèmes », et les stores se re-ouvrent, mais l’alarme sonne plus fort.

Ensuite les enfants grimpent l’immeuble et tapent très fort à la fenêtre. Au-dessus, il y a un balcon avec des grilles noires. Une grand-mère, deux grand pères (jumeaux et qui ont l’air un peu attardés) et deux autres enfants blonds sont sortis sur le balcon. Les deux grands-pères tombent de peur ou de vertige et ils meurent, se décomposent sur le sol.

Puis je vois un des grands-pères qui s’enlève les os du corps, notamment un gros os de forme longue du milieu du front.

Puis il n’est plus que chair, et il gratte l’intérieur d’une boite en bois ouverte en haut avec un os qu’il tient dans sa main.