L’Avatar (Version française)

Rêve #1 : L’Avatar

Comme un film et en même temps je le vis. Il y a un Avatar, (je pense à un sage), c’est une femme qui essaie de se sortir d’une malédiction qui touche son royaume et son peuple et j’essaie de l’aider. On est comme dans un vaisseau ou un monde d’une autre planète. On marche à travers des sous-sols et couloirs secrets et on cherche un moyen pour se cacher et rester en vie car elle risque d’être tuée.

Son peuple aussi de notre côté pour sa protection et disparaît peu à peu. Je pense tuer les uns après les autres. Mais je continue ma mission de protéger cet Avatar. On est dans la pénombre et je vois un jeune homme me montrer un chemin. Je ne peux pas le suivre, à cause d’une petite entrée rectangulaire dans le mur trop étroite pour y passer. Lui entre dans sa cachette et m’envoie des médicaments par cette cavité en croyant m’aider. Je lui dis que ce n’est pas ça dont j’ai besoin, mais plutôt de son aide pour protéger l’Avatar. Il ne comprend pas, car il est limité dans son intelligence.

Il m’envoie une boîte d’ampoules médicales en verre avec du liquide. Ce sont des injections et il pense que c’est bon pour sa santé. Mais ce sont des médicaments puissants pour se protéger du sida. Je sais que c’est dangereux et qu’il n’en a pas besoin car ceux qui lui ont donné veulent créer de la dépendance. Je lui explique qu’il ne doit plus en prendre, sinon il deviendra dépendant et que ce n’est pas comme ça qu’il doit se protéger contre le sida. Mais je ne pense pas qu’il ait compris. Je repars dans le souterrain. Puis on est au bout du tunnel.

Dehors, dans une forêt, caché dans un buisson, on voit un peuple qui a sacrifié une reine ou quelque chose comme ça. Je pense qu’on a échoué.

Puis méditation, je me rendors enfin… Court rêve en lien avec Avatar. Kaya met ses souliers et son manteau pour sortir et aller chercher Christiane. Je lui donne des couvercles de casseroles qu’il doit lui remettre car elle m’a demandé de lui en acheter. Ils sont neufs dans leur carton Ikea.

Rêve #2 : Remise en question

Contexte: Cela fait un petit bout que je demande au Ciel de devenir une meilleure maman. Mon fils qui vit avec moi est dans une période de sa vie parfois difficile. Je ressens en lui de la révolte. J’aimerais de tout mon cœur l’aider sachant que ce qu’il vit est éducationnel. J’ai demandé de l’aide au Ciel le premier soir et le lendemain matin lorsque mon fils se réveilla, il était dans un état négatif très intense, comme je l’ai rarement vu. Tout ce que je pouvais lui dire afin de l’encourager ou d’essayer de trouver une solution, car il est à la recherche de travail et n’a plus aucun sous, c’était répliques par-dessus répliques négatives. Je suis quand même restée calme sans que cela m’affecte trop. Dans l’après-midi, je me suis dit : “pour lui changer les idées, je vais lui proposer de venir dehors avec moi tailler les fleurs avant l’hiver”. Ouf, il répliqua en me disant: “ça me tente pas, c’est toi qui a voulu des fleurs alors débrouille-toi toute seule”. Je suis restée abasourdie par sa réponse. Il n’a vraiment pas l’habitude de me répondre comme cela et sur ce ton. J’en avais les larmes aux yeux. J’ai appliqué la Loi de la résonance car j’avais ressenti un manque de respect dans son attitude et j’ai demandé à Dieu un rêve pour mieux comprendre à quel niveau je manque de respect? :

Rêve : J’étais en Inde dans un appartement avec mon ami Gaétan (cet homme est d’un certain âge et il est très dirigeant, dans le concret il aide surtout les plus jeunes bénévolement dans leur vie, il est très spirituel mais impose ses façons de faire et ses idées naturellement en pensant bien faire). Celui-ci venait de s’acheter une petite maison, je crois un 3 et demi, pour y habiter. Nous sommes allés dans sa maison et lui, il est parti faire des commissions. J’ai pensé déménager ses choses mais je ne savais pas s’il voulait tout laver avant. Cela me semblait propre, tout était blanc, mais je me suis dit : je vais attendre. J’ai remarqué qu’il avait acheté des gâteaux, des éclairs au chocolat, même le crémage intérieur était au chocolat.

Comme j’avais faim, je m’en suis pris un. Gaétan arriva. Je lui avoua avoir pris un petit gâteau. Ce fut à mon tour d’aller me promener. Je faisais les boutiques. Je me disais que j’allais laisser Gaétan un peu seul car je sais que parfois l’après-midi il aime bien se reposer. Je me promenais. Je me disais : non, je n’apporterai pas de souvenirs cette fois-ci. Puis ensuite je me dis: ouais, je suis loin, peut-être que je pourrais en apporter à mes 12 agents (ce sont les personnes avec qui je travaille). J’ai pensé dans un couloir, je me disais : je crois bien que je dois repasser par là pour m’en retourner chez Gaétan, je ne voulais surtout pas me perdre. Un homme, je crois qu’il était photographe, a voulu m’attaquer, je crois pour me violer. Au même moment, quelques personnes qui étaient assises un peu plus loin se sont mises à l’intimider, alors il est parti. J’ai remercié les gens du fond de mon cœur.

Rêve #3 : La tour

Je suis au sommet d’une sorte de tour, isolée en bord de mer. Elle porte un nom propre, qui rappelle des parties de châteaux médiévaux. Il fait beau et chaud; c’est un climat méditerranéen. Pour compléter ma visite, je dois franchir une petite barre de métal qui sert de barrière, et contourner le sommet de cette tour. Une fois derrière la barrière, je m’aperçois que je suis en fait très haut, et le vertige me prend. Je me dis que si je fais bien attention, tout devrait bien aller.

Je fais alors l’effort d’aller un peu plus loin, mais le vertige est trop fort. Je décide de revenir sur mes pas et de redescendre. Arrivé au pied de la tour, je me mets à courir très vite. Je suis sur une route très large, sans voiture, pratiquement déserte. De chaque côté de la route se trouve des groupes de délinquants, hors-la-loi, défavorisés de toutes sortes, qui étalent leurs bouteilles vides, leurs seringues, leurs lits de fortune, leur misère. Alors que je passe près d’un premier groupe, un jeune homme en haillons, agressif et désespéré, me bouscule et tente de me vendre de la drogue.

Je refuse et passe mon chemin, toujours en courant. Dans ma course, j’évite maintenant chaque groupe qui se présente, et cela me demande de zigzaguer d’un côté à l’autre de la route, à chaque fois en sautant par-dessus un petit mur de béton. À la fin de ma course, j’arrive à un poste de police avec un prisonnier – le plus dangereux des délinquants que j’ai rencontré. Je le confie aux policiers en service, mais ils tardent à s’en occuper et il s’enfuit “par la porte d’entrée”, comme je le fais remarquer aux agents, trouvant cela inadmissible.