La course de chevaux

Rêve #1 : La course de chevaux

Rêve : Sur un chemin de terre, je voyais des chevaux qui galopaient. Ils étaient magnifiques et très puissants. J’étais avec mon père. C’était une course de chevaux, dans laquelle ils coursaient par groupes de 2 l’un à côté de l’autre. Je me demandais s’ils avaient assez d’espace pour faire des dépassements. Nous en voyions 3 qui allaient plutôt dans une clairière pour rejoindre un chemin de forêt. Je me demandais s’ils allaient se rendre au même endroit.

Au fur et à mesure de leurs passages, leurs pas créaient des sillons dans le chemin de terre, et à chaque passage les sillons se creusaient de plus en plus profondément. De 2 à 3 pieds, puis même jusqu’à un mètre, mais cela ne ralentissait pas les chevaux. Ils continuaient au même rythme, même si les sillons devenaient presque aussi creux que leur hauteur sous la terre.

Je voyais alors que certains s’étaient retrouvés dans un bassin d’eau à côté du chemin. Ils coulaient et devenaient pris dans l’eau. Mon père et Serge, ainsi que d’autres hommes, allaient dans l’eau pour les dégager et les sauver.

Je me demandais si j’étais assez fort pour aller moi aussi dans l’eau pour les dégager. Je signalais alors au loin d’arrêter la course, de ne pas envoyer d’autres chevaux. Mais je voyais que d’autres hommes au crâne rasé semblaient l’avoir déjà fait plus loin. J’allais ensuite dans l’eau et je découvrais que c’était une voiture jaune qui coulait à 10-20 mètres de profondeur et qui faisait couler un cheval en même temps. Sans trop savoir comment, je réussissais à déprendre ce qui semblait maintenant être une personne et nous remontions à la surface.

Il y avait alors la notion que Maria (ma conjointe) et moi étions dans un stationnement de centre d’achat. J’étais assis sur le trottoir, dos au centre d’achat, face à un taxi, et je pleurais. J’étais soulagé mais en même temps, j’avais une certaine retenue car je ne savais pas si c’était correct de pleurer. Je me disais alors que oui, c’était normal après ce que j’avais vécu. J’avais un terrible sentiment de vide par rapport au centre d’achat, car ce qu’il représentait ne m’intéressait plus. Aline était un peu distante.