Musée de la musique (Version française)

Rêve # 1 : Musée de la musique

Rêve: Je me trouve sur mon lieu de travail, dans un musée de la musique où je suis guide. J’anime des ateliers de musique et je guide les visiteurs dans le musée. (Dans la réalité, je travaille dans ce musée tout en suivant une formation en sophrologie. J’envisage de quitter le musée après ma formation pour devenir thérapeute à plein temps).

Alors que je suis en train de ranger des instruments après un atelier, un conférencier arrive et me demande : « Pourquoi ne pas travailler ici vraiment et en faire ton principal métier? » Je réponds à mon collègue, sûre de moi : « Non, je sais ce que je veux faire : thérapeute » (ce collègue travaille au musée depuis dix ans tout en faisant par ci par là d’autres activités, mais le musée est son principal métier).

Toujours au musée, je pose mon long manteau marron à un porte-manteau et vais à une réunion ou bien je vis animer une autre visite. Je me demande finalement si je ne vais avoir froid sans mon manteau. Je me rends compte alors que je porte un anorak blanc de ski, imperméable et très chaud.

Je me retrouve ensuite dehors en train de sortir du musée. Mon téléphone sonne soudain. Je regarde le nom qui s’affiche, c’est la mère de mon ex-compagnon. (je ne la vois plus vraiment depuis ma séparation avec son fils, mais nous nous apprécions et nous nous envoyons parfois des messages). Là, je sais qu’elle m’appelle pour me remercier d’avoir pensé à lui souhaiter un bon anniversaire. (c’était le 16 août)

Rêve # 2 : Ver solitaire

Rêve: Je suis à l’hôpital pour une extraction de ver solitaire* J’ai peur, car j’ai la phobie des vers (dans la réalité aussi). Une infirmière qui est avec moi prend une longue tige et enroule le ver autour pour l’extirper lentement. Elle le met en même temps dans une sorte de tuyau fin. Malheureusement, en bout ‘opération, elle se rend compte qu’il manque quelques centimètres au tuyau. Elle doit donc recommencer toute l’opération (car si elle ne sort pas tout le ver, les morceaux qui resteront dans le ventre se redévelopperont).

* Le TAENIA oU VER SOLITAIRE sous forme de larve se retrouve le plus souvent dans de la viande mal cuite. Il est ingéré par le futur hôte et se fixe dans l’intestin. Là, il se nourrit d’une partie de la nourriture ingérée par l’hôte et grossit. À partir d’environ trois mois de développement dans l’intestin, il est capable de procréer. Il se libère de quelques-uns de ses anneaux, pleins d’œufs, qui glissent doucement vers l’anus pour être enfin libérés parmi les selles. Ces anneaux seront alors ingérés par les hôtes intermédiaires qui développeront les laves dans leurs muscles, et ainsi de suite. Réactions: éruptions cutanées, ou des max de ventre. Dans d’autres cas, l’hôte peut être amené à maigrir beaucoup et à être très irrité par les toxines produites par le ver.

Rêve # 3 : Entre Ciel et mer…

Rêve: J’ai une discussion avec Michel & Gisèle (mon beau-frère et ma belle soeur dans le concret), et un autre Michel, un ami, qui, en général est un peu mou et très gentil. Michel et Gisèle, qui habitent le Québec (dans le concret), veulent revenir vivre en France, et j’essaie de comprendre pourquoi car j’envisage d’emménager au Québec. Mon ami Michel intervient à ce moment là d’une manière assez méchante en disant que Gisèle devait venir en France car son visage avait besoin de soin pour s’embellir. Michel le compagnon de Gisèle se lève pour lui faire remarquer qu’il n’est pas correct.

Je me retrouve ensuite au téléphone avec ma maman, tout en marchant vers la mer je lui évoque la réservation du billet d’avion pour le Canada. À ce moment là, le niveau de la mer monte à très grande vitesse. Pour éviter d’être pris dedans, je grimpe sur une montagne ; plus je monte, plus le niveau monte. Arrivé au sommet de la montagne, j’entre dans une maison à l’abri.

Dans cette maison, je retrouve de bons amis à moi. En regardant par la fenêtre je vois un tsunami; un mur d’eau immense qui arrive vers nous. Je demande à un ami de fermer les volets, mais trop tard l’eau est déjà là. Elle traverse la maison, je ressens l’eau et le courant très fort sur tout mon corps. Je subis et me dis que si un objet porté par le courant me heurte je mourrais, mais j’étais résigné. De toute façon je ne pouvais pas bouger. La lame de fond passe, je suis vivant.

Je me retrouve ensuite sur une plage avec un groupe de G.. qui s’entraîne. Nous retenons notre respiration pendant 30 seconds, puis davantage, tout en faisant des mouvements. Nous préparons une expédition dans un sous-marin. Je me réveille.