Entre New-York et Montréal (Version française)

Rêve 1 : Entre New-York et Montréal

Rêve : Je suis enceinte. On est assises à une terrasse avec Laetitia et une autre personne que je ne connais pas. Pauline passe, mais elle ne nous voit pas. Je I’appelle, elle revient. J’ai rencontré un amoureux et je leur raconte. II a un studio d’enregistrement à New York et on va en ouvrir un autre à Montréal, on habitera dans les 2 endroits. Je l’aiderai pour tout ce qui est administratif. Je suis très heureuse.

Partage : Laetitia et Pauline : amies école (entre 11 et 16 ans), rebelles et drôles. Laetitia: enthousiaste mais quand elle est négative, elle est destructrice (elle est Omael); beaucoup de dépendances. Pauline: enseignante et 2 beaux enfants, marginale, a aussi des dépendances.

Rêve #2 : L’accolade trop longue

Rêve : Je suis dans un atelier de groupe spirituel. Je ne sais pas pourquoi, mais j’étais prêt à partir une journée avant parce que j’habitais loin. J’embrassais tout le monde. J’ai fait l’accolade à un homme qui ne me lâchait plus. Je trouvais que c’était un peu trop long cette accolade… Je disais: « Ici, c’est notre famille. On n’a pas besoin d’aller chercher le bonheur, avec tout ce qu’on a dans l’instant présent ».

Ensuite, j’avais dans les mains un bâton d’environ 6 pieds de longueur et de 5 cm de diamètre. Aux deux extrémités, c’était de forme conique. Le bâton se séparait dans le milieu. II était maintenu fermement par deux champs magnétiques (aimants). Il y avait une courroie qui l’empêchait de se séparer.

Rêve #3 : Redressement

Partage : J’ai reçu ce rêve alors que je travaillais avec I’Ange 70 durant sa régence.

Rêve : Je rêve que je suis dans un centre de redressement pour les jeunes en difficulté. Je vois un des gardiens du centre, ou un homme d’autorité qui travaille là-bas. Il me partage qu’il est content le soir, et soulagé de fermer la porte principale avec le loquet qu’il me montre.

Ensuite, je sais que j’ai une chambre au 2e ou 3e étage dans ce centre, même si je n’en fais pas partie vraiment. Il me semble que je suis dans la chambre 12 et je sais que je possède toutes les clés du centre, y compris celles de la porte principale. Je range et cache mes clés dans ma chambre…

Je sais qu’un jeune homme du centre me repère et semble convoiter les clés. Je me retrouve ensuite au rez-de-chaussée, avec une jeune fille qui possède un pouvoir magique : celui de traverser les murs. Je lui dis que ce jeune homme va sûrement s’emparer des clés et je lui demande d’aller les protéger.

En lui disant cela, je lui attrape le bras et la regarde sérieusement, elle est étonnée que j’arrive à l’attraper, alors qu’elle a le pouvoir d’être impalpable. Elle y va, et avant de partir, elle semble être attirée aussi par le fait de partir du centre, elle me dit: “Je peux y rêver…”. Je lui dis qu’il faut absolument attraper ces clés avant le jeune homme, car cela peut être très dangereux s’il les a.

Rêve #4 : Le musée de la torture

Partage : Je suis allée dans un musée sur la ‘justice” du moyen-âge où les instruments de torture de l’Inquisition étaient présentés. Je n’ai pas pu faire tout le tour, j’avais mal au coeur et pleurais, ressentant en moi la souffrance humaine: la souffrance physique des questionnés, des torturés dans leur chair, mais aussi la souffrance des juges, la souffrance derrière leur peurs de la beauté, de la féminité, de l’autre, de la sexualité…

Rêve : La nuit avant, j’ai rêvé que je torturais un enfant, ligoté. Je lui donnais des coups avec ma main droite, avec une sorte de fer à repasser (les anciens, en métal très lourd, que l’on posait sur le feu pour les chauffer) sur tout le corps. L’enfant ne pleurait pas, ne montrait pas de souffrance. Nous étions dans la cuisine de ma grand-mère, il y avait juste la table.

Partage : Quelle est la symbolique qui se trouve derrière la torture, faire mal à l’autre, de façon générale, mais aussi de façon plus spécifique: je pense que chaque forme de torture a aussi sa signification plus précise…

Par exemple: un collier de métal formé de clous lourds qui déchirent les chairs petit à petit jusqu’aux os, à chaque mouvement. Faire ingurgiter de l’eau en énorme quantité puis frapper le ventre gonflé. Écarteler. Rouer de coups pour briser les os… Il y a tellement d’autres manières… Le mal est éducationnel, oui ! Mais je ressens tellement de peine devant cette ingéniosité à faire mal !