En vacances en Afrique (Version française)

Rêve #1 : En vacances en Afrique

Rêve : Je suis en vacances en Afrique. J’ai donné une liasse de billets verts (des 200 ou des 20) à Ralph.

Je me dis ensuite que je lui ai un peu trop donné d’argent. Il va boire un café et commande quelques douceurs et sort sa liasse pour payer. Je lui dis d’être discret, car cela peut attiser l’envie dans un pays pauvre.

Ensuite, je suis dans une chambre et on toque à la porte. Un homme noir me menace pour avoir de l’argent. Avant d’ouvrir la porte, je pressentais déjà cette scène. Je le calme et lui dis que s’il est agressif, je ne donnerai rien. Et si je lui donne de l’argent, il devra l’utiliser pour aider un frère humain. Plus tard, un autre homme noir arrive et la même scène se reproduit. Puis, un troisième homme noir arrive avec cette fois-ci un taser électrique et un otage. Il menace de lui faire du mal si je ne lui donne pas d’argent. Je le calme et lui caresse la joue affectueusement; je ressens de la compensation pour lui.

Il s’énerve, mais je reste calme et je lui demande de poser son taser et qu’il aura ce qu’il veut à condition d’aider un frère humain avec cet argent.

Rêve #2 : Le bateau volant

Rêve : Mon père et ma mère dans le rêve sont des personnes inconnues (pas mes parents réels). Des personnes construisaient un bateau pour mon père, mais c’est un bateau qui pouvait faire aussi avion, qui était assez grand, blanc, et qui avait une forme de demi lune. Je regardais les travaux se faire.

Le lendemain matin, ils ont décidé de mettre le bateau à l’eau (le bateau avait été fini et marchait bien), ils étaient nombreux. Je les regardais depuis la plage. Je me suis avancé dans l’eau, une grosse vague est arrivée, je me suis baissé sous l’eau pour la laisser passer.

Puis je me suis retrouvé dans le bateau-avion à revenir en volant au-dessus de la ville où nous habitions. C’était une sorte d’île entre deux mers, nous avons remarqué qu’il y avait eu une grande vague qui avait inondé toute la ville, que ça avait fait beaucoup de dégâts. Ma mère est arrivée; elle était très en souci parce qu’elle ne savait pas où j’étais, et me cherchait partout. J’étais parti dans l’avion avec mon père.